Free use BDSM en selfbondage

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il y a 1 an

J’ai été invitée à un mariage BDSM organisé au gîte fétichistes. Pour celer leur union BDSM, Max et Mia ont loué le gîte et commandé la prestation comprenant la mise à disposition des lieux, les repas et l’hébergement pour une partie de leurs amis ainsi que la cérémonie.

La mariée était trop belle dans sa robe rouge exposant son corps plus quelle ne le voilait. Max portait un costume rouge et noir, ils étaient trop beau à voir. Pendant la cérémonie, les invités écoutaient religieusement le faux maire lisant le contrat BDSM. Sur le visage des filles ont pouvait lire l’excitation, l’émotion, le rêve d’être un jour à la place de Mia.

Le branding prévu à la fin de la cérémonie me faisait un peu peur, je m’attendais à des hurlements, il n’en fut rien. Mia s’est installée fièrement sur le banc à fessée sortie pour la circonstance et s’y est laisser entraver pendant que son Maître faisait chauffer le fer sur une plaque à gaz. Lorsque Max lui a demandé si elle était prête et désirait toujours être marquée, elle a répondu « oui Maître, je le désire ».

Si le silence était total, sur le visage des invités se dessinait les frissons et la curiosité, aucun d’entre eux n’avait assisté à un branding. Le marquage fut bref et sans cri. Max a posé le fer à peine plus d’une seconde sur la fesse de sa soumise qui n’a même pas bougée tant elle le désirait. Je m’attendais à voir de la fumée et à l’entendre hurler, ce fut si rapide qu’il n’en fut rien. Étonnée tout comme les invités, nous l’avons applaudie et félicitée pour son courage. Sans tarder, la brûlure fut soignée et recouverte d’un pansement. Ce n’est qu’une fois délivrée du banc à fessée qu’elle s’est mise à pleurer en embrassant son Maître. Ses larmes n’étaient pas de douleur mais de bonheur.

La suite du mariage fut quasiment classique, apéritif et repas furent servis sur un buffet. Il y eu plus de discussions que de BDSM ce soir là. Ce n’est qu’en fin de soirée que les invités se lâchèrent. Sur la terrasse où avait eu lieu la cérémonie, les passionnés de shibari s’en donnaient à coeur joie pendant que d’autres s’amusaient au donjon. C’est à ce seul moment que l’on s’est un peu occupé de moi, de la soumise esseulée. J’ai été fessée puis abandonnée attachée jupe relevée et fesses à l’air sur le banc à fessée.

Une des soumises est venue jouer avec ses ongles sur la peau de mes fesses, pour s’amuser de mes frissons. Rejointe par un couple Femme Dom et homme soumis, elles se sont partagés la « victime » consentante. La Maîtresse me claquait les fesses en alternance avec la griffeuse pendant que le soumis me léchait les pieds. J’ai entendu siffler des fouets, mais hélas, je n’ai rien pu voir, cela se passait dans le parc pendant que l’on jouait avec mon popotin.

La soirée ne fut pas très animée en terme de pratiques BDSM, les invités semblaient ravis de se retrouver. Entre eux, le respect des conventions était palpable car ce sujet revenait souvent dans les discussions. Ils parlaient beaucoup des limites, des interdits, des sangsues et indésirables du Net ou du BDSM. Je n’ai effectivement vu aucun geste déplacé sans demande d’autorisation, aucune tentative de séduction. Une démonstration de water bondage a été réalisée dans la piscine par un couple adepte et fétichiste des jeux d’eau. J’aurai bien aimé essayer, mais je n’ai pas osé demander.

La petite nouvelle du clan se devait de s’intégrer en douceur. Sauf qu’elle avait des envies elle aussi, peut-être n’osaient-ils pas puisque j’étais nouvelle. Si bien que lorsque tout le monde est allé se coucher, mes désirs étaient insatisfaits. Cohabitant dans une chambre, je suis restée sur ma faim sans même pouvoir me caresser, pour éteindre le feu couvant en moi. Si bien qu’au petit matin, lorsque je suis descendue avec les idées venues lors de mes rêves érotiques, après avoir avalé un café je me suis rendue au donjon. Rien que d’y entrer, j’avais des fourmis dans le ventre.

Il m’attendait là, suspendu au treuil, sûrement laissé par des habitués des lieux. Ce harnais permet de suspendre une personne rapidement et assez confortablement, comment résister à l’envie de l’essayer ? Je l’ai donc enfilé sans même le décrocher puis, à l’aide de la télécommande, j’ai pu me soulever et quitter le sol comme un jambon.

Tout en me balançant dans le vide, je regardais le placard à jouets où une cagoule d’isolation BDSM me faisait de l’oeil. Lorsque mes doigts se sont glissés dans ma culotte en m’imaginant à la merci des invités sans même savoir qui s’occuperait de moi, rien que leur contact pourtant habituel m’a faite gémir.

C’est là que l’idée de réaliser un selfbondage de folie m’a traversée l’esprit. Le selfbondage, j’en fais des fois à la maison, mais sans tout ce matériel si excitant. Après m’être redescendue et libérée du harnais j’ai vu un bloc note et un stylo sur le bar. Tout en frémissant, j’ai écris Free Use et BDSM. Mon idée était de m’attacher un moment avec ce papier autour du cou puis de me libérer et de me..... avant que les gens se lèvent.

Après avoir rapproché la cagoule et un bâillon, j’ai pris de quoi lier mes jambes et les menottes ainsi que les clés comme je le fais à la maison. C’est derrière le bar que j’ai trouvé de quoi me suspendre puis me libérer après un instant de lutte. Il y avait de la ficelle enroulée sur les morceaux de bois avec les indications de longueur. Par prudence, je n’ai pris que la courte de 5 mètres. Ainsi, une fois suspendue, je pourrai laisser glisser la télécommande du treuil et la récupérer en tirant la ficelle avec les doigts pour me redescendre. Hummm, que de frissons.

Monstrueusement excitée comme à chaque fois que je fais un selfbondage, sauf que là, c’était avec un beau matériel, je me suis mise nue et j’ai enfilé le harnais avant de m’asseoir par terre pour attacher mes jambes pliées sur elles même.

Après avoir pris soin de tout mettre à portée de main, j’ai mis le bâillon puis la grosse cagoule d’isolation. Je l’ai bien serrée pour ne rien pouvoir voir et m’isoler un maximum. A la suite de quoi j’ai bloqué le papier indiquant « Free Use et BDSM » dans une de lanière de la cagoule. Rien que d’imaginer que je prenais le risque de m’offrir à des inconnus sans les voir me faisait couler.

A tâtons, j’ai passé la ficelle de la télécommande du treuil aux menottes avant de les refermer sur mes poignets. Lorsque j’ai appuyé sur les boutons de la télécommande, j’ai fini par trouver celui qui m’a faite monter. N’étant pas totalement centrée sous le câble, je me suis mise à me balancer sans rien pouvoir faire d’autre que de me laisser tourner et balancer. Excitant !

Je vous laisse imaginer l’image. Une fille nue, cagoulée, menottée et suspendue avec les jambes pliées pouvant être écartées sans difficulté pour des envies lubriques. La parfaite esclave sexuelle offerte comme un simple jouet.

Pour se libérer, ce jouet humain devait faire remonter les 5 mètres de ficelle pour rattraper la télécommande, descendre puis se saisir des clés des menottes posées sur le sol. Si cela ne semble pas si difficile que ça, il faut savoir que cela prend un peu de temps. Justement, là était ma question. Combien, de temps pouvais-je rester suspendue et surfer sur mes fantasmes avant de me libérer et surtout, avant d’être surprise en mauvaise posture ?

Je n’ai pas eu le temps de trouver la réponse, mais juste celui d’avoir peur lorsque j’ai entendu le bruit de la porte s’ouvrir.

A Suivre

TSM

QUELQUES LIENS

Nous vous invitons vivement à lire cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

Soyez prudents et surtout, ne faites JAMAIS de selfbondage avec du breath control (étouffement / contrôle de la respiration).

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J'adore, j'ai moi aussi la culotte (et pas que) toute humide. Merci pour ce texte joliment excitant. Vivement la suite.
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